L’exposition « Mexique » du Grand Palais est pléthorique. Si toutes les œuvres ne se valent pas, si les maîtres reconnus côtoient les talents mineurs, voici tout de même quelques pépites dénichées rien que pour vous !
Francisco Goitia trouve dans la peinture un exutoire aux violences de la révolution mexicaine débutée en 1910. Le pendu décharné se fond ici dans la forme de l’arbre et prend la couleur des herbes roussies. Il devient paysage.